Retrouvez une critique du recueil de nouvelles de Mia Couto, Le fil des Missangas, par Véronique Dujardin dans notre rubrique "Les livres en vue".
Des portraits de personnages souvent forts, telles ces femmes qui parfois disjonctent et finissent par tuer leur mari ivrogne et/ou violent (dans Faute avouée à demi pardonnée ou les yeux des morts), la télévision rêvée (le mendiant vendredi jouant au football, qui regarde le match depuis la rue dans la vitrine d'un magasin et est matraqué à mort par la police. Lire la suite