Concerts annulés, films déprogrammés, contrats rompus avec des théâtres ou des orchestres. On ne compte plus les sanctions que les institutions culturelles prennent contre les artistes russes. Certaines demandent aux artistes évoluant en leur sein de condamner la guerre, alors que d’autres, comme le Festival d’Avignon, proclament la nécessité de faire entendre les voix des artistes russes dissidents. Dans la situation actuelle, tout se passe comme si seule la dissidence pouvait laver ces artistes du péché d’être nés en Russie.
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