Ginette Vijaya
Au pied des chênes
Mon travail qui avant tout devait être solitaire se métamorphosa. La forêt où j’entrai m’aspira comme un fétu de paille. Je fus accaparé par les cris prodigieux des animaux. Les plantes avaient leur langage. Je fus soulevé par les voûtes des feuillages qui renversaient sur moi leurs jarres de branchages. Je fus vite entouré par de multiples présences.
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