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Le chien attaché au poteau électrique

29/6/2020

 
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On prétend que le roman est le genre carnivore par excellence, protéiforme et caméléon, capable d’absorber tous les registres, genres et formes littéraires. Il faut lire Le chien attaché au poteau électrique, recueil qui publie les nouvelles d’auteurs de la revue en ligne Nouvelle Donne, pour saisir que la nouvelle a le même talent. Les quinze récits de ce recueil édité par la Chambre d’échos montrent qu’il n’y a pas besoin de beaucoup de pages, ni de temps, pour planter l’essentiel d’un polar de vengeance (Bande d’arrêt d’urgence), d’un récit dystopique (Pluviôse 2812), d’une scène de la vie conjugale pleine d’humour et de désillusion (Le mariage des cousins) ou du récit réaliste et désabusé d’un homme évoquant les points de vue différents de syndicalistes dans les années 70 (Mémoires du charbon et de l’acier). C’est donc un recueil qui ne se refuse rien, aucun genre, aucun thème.
 
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