Françoise Cohen
Une cour à Lourmarin, un lieu pour rêver, comme je les aime. Dans la lumière du midi, l’ombre s’applique à dessiner des feuillages sur le mur de pierre. Le personnage est de passage ; c’est moi, mais ce pourrait être n’importe quelle femme qui se pose pour savourer l’instant offert. Ce qui compte pour elle, pour moi ? Joie de vivre, amour, poésie, amitié, maternité, musique, arts (l’ordre importe peu)… et tout le reste est littérature.