Fabrice Bessard-Duparc
Handy
Je roule Handy en direction du parc ; nous sommes fin mars ; il y a comme du renouveau dans l'air, un je-ne-sais-quoi de retour à la vie, comme si l'existence de tout ce qui nous entoure s'était arrêtée pour un temps, le temps de laisser mourir ce qui est mortel, ce qu'il y a de superflu, pour ne garder que l'essentiel.