Justine Coffin
Les deux canards se décident et gravissent le chemin de pierre. Pas âme qui vive ici non plus. C’est tout de même hallucinant.
Ils décident de continuer jusqu’à ce qu’ils croisent quelqu’un qui aurait peut-être sous le coude un bout de pain à lâcher, par amitié, par tendresse.
Dans la rue Nationale, personne. Cette rue pourtant d’ordinaire noire de monde qui court dans tous les sens, cède aujourd’hui au calme plat. Les magasins sont fermés. Seule l’enseigne de la pharmacie clignote un peu plus loin. Juste de nombreuses crottes de chien énormes qui parsèment le trottoir d’ordinaire bien plus propre.
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Les deux canards se décident et gravissent le chemin de pierre. Pas âme qui vive ici non plus. C’est tout de même hallucinant.
Ils décident de continuer jusqu’à ce qu’ils croisent quelqu’un qui aurait peut-être sous le coude un bout de pain à lâcher, par amitié, par tendresse.
Dans la rue Nationale, personne. Cette rue pourtant d’ordinaire noire de monde qui court dans tous les sens, cède aujourd’hui au calme plat. Les magasins sont fermés. Seule l’enseigne de la pharmacie clignote un peu plus loin. Juste de nombreuses crottes de chien énormes qui parsèment le trottoir d’ordinaire bien plus propre.
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