Philippe Crubézy
Tout à l’heure, j’irai acheter le pain, la confiture, le café sans mot dire et à distance. Rasant les murs, rasant la maladie. Je compterai le nombre de personnes croisées, j’en profiterai aussi pour guetter furtivement le retour des oiseaux. Puisque le ciel redevient bleu et sonore.
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Tout à l’heure, j’irai acheter le pain, la confiture, le café sans mot dire et à distance. Rasant les murs, rasant la maladie. Je compterai le nombre de personnes croisées, j’en profiterai aussi pour guetter furtivement le retour des oiseaux. Puisque le ciel redevient bleu et sonore.
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