Antoine Delmonti
Le printemps était arrivé depuis peu. Les oiseaux, restés silencieux tout l’hiver, s’en donnaient à cœur joie, et les arbres en fleurs paradaient en habits de fête, les prunus avaient choisi le rose, le blanc faisait la fierté des pommiers, et le jaune éclatant des mimosas se détachait sur le ciel bleu azur. Dans l’air très doux, digne d’un joli mois de mai, régnait une sorte d’allégresse, la promesse d’un bonheur sans nuages.
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Le printemps était arrivé depuis peu. Les oiseaux, restés silencieux tout l’hiver, s’en donnaient à cœur joie, et les arbres en fleurs paradaient en habits de fête, les prunus avaient choisi le rose, le blanc faisait la fierté des pommiers, et le jaune éclatant des mimosas se détachait sur le ciel bleu azur. Dans l’air très doux, digne d’un joli mois de mai, régnait une sorte d’allégresse, la promesse d’un bonheur sans nuages.
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