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Sophie Coiffier

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J’aimerais résoudre mon pro-blème avec la photographie : toutes les photos que je prends sont mentales. Je rêve de ces appareils photo silencieux et invisibles des espions de films noirs. La photographie tantôt écrase le vivant, tantôt le pointe comme une égratignure dans la réalité même, car un instant saisi devient mémorable comme un exemple. Car un visage unique devient universel ou symbolique, car un paysage demeure tandis qu’il s’éteint ou se transforme.

 

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