Bon ou mauvais qu’importe, progresse en ne présentant dans chacune de mes deux sphères d’évolution qu’une partie de ma face, une moitié de moi-même. Sphère ordinaire - de la vie de tous les jours - et sphère de l’écrit/lu au sein de laquelle je pénètre à peine et suis en cet instant, nouvel occupant en portrait de biais, lisible devant vous.
Ce qui fait le lien : Gilles, comme un fil à plomb qui longe l’arête nasale. Le reste vient d’ailleurs, même si de pas très loin, bricolé, tissé comme un uniforme, un uniforme de rat, une nouvelle redingote pour un nouveau voyage.
Et de ces deux profils je ne suis ni tout à fait l’un ni tout à fait l’autre ; à peine les deux à la fois.