Livia Léri, qui a fait de la langue et de la littérature françaises son métier depuis vingt ans (enseignement, recherche et animation d’ateliers d’écriture), a commencé par écrire de la poésie, avant de s’orienter vers l’écriture narrative. Aujourd’hui, elle se consacre tout particulièrement à la nouvelle, dont elle apprécie la densité et la multiplicité des possibles. Ce genre constitue le cadre approprié pour exprimer avec intensité les problématiques humaines qui traversent les personnages qu’elle campe dans ses nouvelles psychologiques : parcours de vie cousus de blessures, incommunicabilité entre les êtres, prises de conscience qui sont des arrachements, voix intérieures qu’on ne peut pas faire taire et qui poussent douloureusement à agir. Livia Léri explore successivement différents sous-genres de la nouvelle : nouvelle à chute, nouvelle-instant, micro-nouvelle, nouvelle épistolaire, nouvelle-conte, nouvelle-fait divers, nouvelle-drame… Passionnée par la langue française, elle accorde une importance toute particulière au travail de la forme et du style. Son écriture se caractérise comme une écriture de la sensation, engageant souvent une esthétique impressionniste. Ses nouvelles paraissent en revues (Brèves, Souffles, Nouvelle Donne) et dans des recueils collectifs, et plusieurs d’entre elles ont été récompensées par des prix. Deux recueils de nouvelles (Déliées, Vies de Paris) et un roman (En fuite) sont actuellement dans ses cartons.
Livia Léri, qui a fait de la langue et de la littérature françaises son métier depuis vingt ans (enseignement, recherche et animation d’ateliers d’écriture), a commencé par écrire de la poésie, avant de s’orienter vers l’écriture narrative. Aujourd’hui, elle se consacre tout particulièrement à la nouvelle, dont elle apprécie la densité et la multiplicité des possibles. Ce genre constitue le cadre approprié pour exprimer avec intensité les problématiques humaines qui traversent les personnages qu’elle campe dans ses nouvelles psychologiques : parcours de vie cousus de blessures, incommunicabilité entre les êtres, prises de conscience qui sont des arrachements, voix intérieures qu’on ne peut pas faire taire et qui poussent douloureusement à agir. Livia Léri explore successivement différents sous-genres de la nouvelle : nouvelle à chute, nouvelle-instant, micro-nouvelle, nouvelle épistolaire, nouvelle-conte, nouvelle-fait divers, nouvelle-drame… Passionnée par la langue française, elle accorde une importance toute particulière au travail de la forme et du style. Son écriture se caractérise comme une écriture de la sensation, engageant souvent une esthétique impressionniste. Ses nouvelles paraissent en revues (Brèves, Souffles, Nouvelle Donne) et dans des recueils collectifs, et plusieurs d’entre elles ont été récompensées par des prix. Deux recueils de nouvelles (Déliées, Vies de Paris) et un roman (En fuite) sont actuellement dans ses cartons. Après des études de lettres et de littérature française, je me suis dirigée vers l'enseignement puis vers les métiers de la petite enfance. Le contact avec les enfants m'a permis de développer mon intérêt pour l'écriture en présentant des contes et des spectacles au travers de mon travail d'assistante maternelle.
J'ai eu l'opportunité de contribuer à la rédaction d'une gazette lors de mon bref passage à la présidence d'une association pour l'éveil d'enfants en bas âge. J'ai toujours aimé écrire : poésies, nouvelles et récits. Mes émotions, ce sont mes personnages fictifs qui les véhiculent. A présent retraitée, j’ai la disponibilité de m'investir davantage dans mon travail d’écriture et souhaite partager mes textes. Ma nouvelle " Aux pieds des chênes" est ma première publication. |