Patrick Le Divenah
PORTRAIT DE L’ECRIVAIN EN NOUVELLE
Bonne nouvelle que cette nouvelle parution de ma nouvelle. Pour moi, bien sûr ; pour vous, on verra quand vous l’aurez lue. Heureux êtes-vous, déjà, si vous portez un prénom simple, à cette époque des prénoms surcomposés (je m’inspire du passé du même nom ; voir Bescherelle, un régal). A part ça, j’écris des textes qu’on peut rattacher au genre poétique et suis plasticien (c’est-à-dire tout sauf peintre), option daltonien. Suis publié par les éditions Passage d’encres (Mémoire de l’imaginaire, Fragments textes/photos, 21011), L’Echappée belle (Blasons du corps féminin, octobre 2013 !) et les revues L’Intranquille, Verso, Moebius, Décharge, La Passe, et j’en passe... M’intéresse au souffle, à l’absurde (quoique), aux sciences qui m’inspirent par la beauté de leur verbe et éventuellement de leurs sujets.
Reçois sur rendez-vous.
PORTRAIT DE L’ECRIVAIN EN NOUVELLE
Bonne nouvelle que cette nouvelle parution de ma nouvelle. Pour moi, bien sûr ; pour vous, on verra quand vous l’aurez lue. Heureux êtes-vous, déjà, si vous portez un prénom simple, à cette époque des prénoms surcomposés (je m’inspire du passé du même nom ; voir Bescherelle, un régal). A part ça, j’écris des textes qu’on peut rattacher au genre poétique et suis plasticien (c’est-à-dire tout sauf peintre), option daltonien. Suis publié par les éditions Passage d’encres (Mémoire de l’imaginaire, Fragments textes/photos, 21011), L’Echappée belle (Blasons du corps féminin, octobre 2013 !) et les revues L’Intranquille, Verso, Moebius, Décharge, La Passe, et j’en passe... M’intéresse au souffle, à l’absurde (quoique), aux sciences qui m’inspirent par la beauté de leur verbe et éventuellement de leurs sujets.
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