De quelle façon construisons-nous nos existences ? Sur quels secrets reposent-elles ? Que faut-il lire entre nos lignes de vie ? Les personnages de ces nouvelles – un joueur de petits chevaux, une exilée, un cireur de chaussures, un ménage à trois, une arrière petite-fille de princesse russe, un coupeur de têtes et tant d’autres – ont été tantôt gâtés, tantôt trahis par le sort et font tout leur possible pour s’en accommoder.
Comme elle le ferait avec des porcelaines, la lumière – celle qu’avec tendresse l’auteur braque sur eux – les traverse et révèle leur fragile architecture : un enchevêtrement d’illusions, de mensonges et d’espoirs.
Au travers de ces porcelaines, c’est en fin de compte un peu de notre vérité commune qui transparaît.
Lire un extrait : http://www.jacquesflament-editions.com/wp-content/uploads/2011/10/28_extrait.pdf
Les porcelaines, d'Alain Emery, éditions Jacques Flament, collection Marges, 138 p.
Comme elle le ferait avec des porcelaines, la lumière – celle qu’avec tendresse l’auteur braque sur eux – les traverse et révèle leur fragile architecture : un enchevêtrement d’illusions, de mensonges et d’espoirs.
Au travers de ces porcelaines, c’est en fin de compte un peu de notre vérité commune qui transparaît.
Lire un extrait : http://www.jacquesflament-editions.com/wp-content/uploads/2011/10/28_extrait.pdf
Les porcelaines, d'Alain Emery, éditions Jacques Flament, collection Marges, 138 p.