En ligne, un nouveau diaporama consacré au 5e Salon du livre de la Clayette, Nouvelles d'Automne, auquel participait la revue Rue Saint Ambroise. Lancer
Dominique Pascaud, l'un des auteurs de la revue Rue Saint Ambroise, a reçu le 3e prix au Prix Jean Lescure 2011, concours de nouvelles liées au cinéma. Vous retrouverez prochainement Dominique Pascaud dans le numéro 28 de la revue avec un texte intitulé Théobald. Les textes primés au Prix Jean Lescure seront en ligne courant novembre sur le site de la mairie de Vénissieux : http://www.ville-venissieux.fr/cinema/Autour-du-cinema/Concours-de-nouvelles Retrouvez dans notre rubrique "Les lectures" le texte d'Adriana Langer En chemin à paraître dans le numéro 28 de la revue.
Après le succès des deux premières éditions, le troisième festival de lecture à haute voix "Livres en tête" se déroulera du mercredi 16 au samedi 19 novembre 2011. • LIEUX Réfectoire des Cordeliers (www.refectoire-cordeliers.fr) 15, rue de l’école de médecine - Paris 6ème - M° Odéon Institut Français de la Mode (www.ifm-paris.com) 36 Quai d’Austerlitz - 75013 Paris - M° Austerlitz • TA R I FS 1 soirée : 12 € - chôm. & étud. : 5 € - étud. Paris IV : 2 € Passeport festival : 35 €. Chôm & étud. : 15 €. Etud. Paris IV : 6 € • BLOG : http://festivallivresentete.blogspot.com/ • RÉSERVATION : [email protected] • RENSEIGNEMENTS : 06 81 65 42 94 – www.leslivreurs.com • PREMIER RDV : LES NOUVEAUX REBELLES - 20h30 Lieu : Institut Français de la Mode, Amphithéâtre Yves Saint-Laurent. La rebellitude est un accessoire obligatoire de tout artiste et de tout écrivain qui se respecte. Vous écrivez dans les journaux, vous dirigez des collections, vous êtes subventionné par l’État, vous publiez des romans qui attirent les éloges de la presse, cela ne vous suffit pas, vous voulez être, en plus, un rebelle. Comme tout le monde. La modernité a inventé le rebelle institutionnel, le subversif de pouvoir, le révolté académique, le dérangeant de salon. Être rebelle, c’est l’argument publicitaire, la touche artiste, le détail qui fait joli. Les textes de tous ces rebelles forment, pour l’amateur d’ethnologie littéraire, un inestimable réservoir de comique involontaire et de pompiérisme de la révolte pour rire. Ah, pages immortelles de Sollers, Haenel, Angot, Moix, Orsenna, Skorecki, Villepin, vous ébranlez la société, on vous censure, on vous réprime ! Aux lecteurs Livreurs de prendre le risque mortel de faire résonner l’espace de vos échos révolutionnaires. À déguster entre pétroleurs. INVITE : Hafed Benotman, écrivain et braqueur de banques. Pour février 2012, Ardemment.com lance un appel à contributions : « La guerre d’Algérie et la mémoire intime ». Poésie, nouvelle, ou tout autre langage artistique qui se fait l’écho de cet événement dans la mémoire des générations. Si les artistes algériens depuis 1962 ont largement contribué à rendre compte de cette période traumatique, en France qu’en est-il resté en dehors de la narration des faits de guerre sur le territoire algérien ? Qu’est-il resté de cette histoire imaginaire ou vécue dans l’intimité de la population et des familles françaises ?
Vous pouvez envoyer vos propositions à l’adresse du site : [email protected] Retrouvez dans notre rubrique "Les lectures" trois nouveaux textes à paraître dans le numéro 28 de la revue : Le chauffeur de veuves, de Fabrice Marzuolo, La caverne des lions de mer, de Stéphane Olivier et L'amère à boire, d'Emmanuelle Cart-Tanneur.
L’association EMA Éditions organise un concours de nouvelles en partenariat avec le cabinet de conseil littéraire CLÉ CONSEIL, et l’entreprise NUUT. Les nouvelles seront reçues jusqu’au 31/03/2012 au 5 bis rue Marc Sangnier, 13200 Arles. La participation au concours est soumise à l’acceptation du règlement et doit faire l’objet d’une inscription sur le site de l'association : www.ema-editions.fr. Les dix auteurs primés signeront un contrat d’édition avec l’Association EMA dans le cadre de cette publication. Le recueil de nouvelles sera proposé pour un référencement FNAC. EMA offrira un exemplaire du recueil aux auteurs édités.
Règlement complet : http://concours-nouvelles.fr/ Le Moulin à café et Riveneuve éditions vous invitent à rencontrer Nathanaël Fox à l'occasion de la présentation de son roman La nuit du tagueur le mercredi 19 octobre à 19h au Moulin à café - 9 place de la Garenne (Paris 14e). Lire la critique de La nuit du tagueur De quelle façon construisons-nous nos existences ? Sur quels secrets reposent-elles ? Que faut-il lire entre nos lignes de vie ? Les personnages de ces nouvelles – un joueur de petits chevaux, une exilée, un cireur de chaussures, un ménage à trois, une arrière petite-fille de princesse russe, un coupeur de têtes et tant d’autres – ont été tantôt gâtés, tantôt trahis par le sort et font tout leur possible pour s’en accommoder. Comme elle le ferait avec des porcelaines, la lumière – celle qu’avec tendresse l’auteur braque sur eux – les traverse et révèle leur fragile architecture : un enchevêtrement d’illusions, de mensonges et d’espoirs. Au travers de ces porcelaines, c’est en fin de compte un peu de notre vérité commune qui transparaît. Lire un extrait : http://www.jacquesflament-editions.com/wp-content/uploads/2011/10/28_extrait.pdf Les porcelaines, d'Alain Emery, éditions Jacques Flament, collection Marges, 138 p. L’IMEC (l'Institut Mémoires de l'édition contemporaine) a organisé le jeudi 29 septembre un débat sur le thème « Et si le papier était l’avenir des revues » en présence des revues Ce qui secret et Tête-à-tête ainsi que d’Ent’revues. Les échanges ont été enregistrés pour les archives de l’IMEC, en voici un résumé. D’abord, la conclusion principale de la soirée : la revue papier, comme le livre, ne disparaîtra pas complètement avec le développement d’Internet, ou du livre numérique, pas plus que le cinéma n’a disparu avec l’apparition de la télévision. En revanche, tous les intervenants (Marc Perrin, directeur de la revue Ce qui secret, Valentina Traïanova, artiste-performeuse invitée de Ce qui secret, Camille Deltombe et Alban Lécuyer pour la revue Tête-à-tête) ont estimé qu’Internet offrait aux revues au moins deux opportunités majeures : - accroître leur notoriété et donc d’une part leur lectorat potentiel, d’autre part la diversité des auteurs susceptibles de proposer une contribution. - proposer des contenus complémentaires à l’objet papier sous forme d’images, de vidéos, de créations sonores, de textes inédits, de compléments d’informations, etc. Il est également ressorti des échanges avec le public qu’il subsiste un attachement très fort à l’objet papier. A ce titre, des étudiants d’une vingtaine d’années en histoire du spectacle vivant de l’université de Caen étaient venus présenter un projet de revue papier à paraître dans quelques semaines. A aucun moment ils n’avaient envisagé de créer une revue en ligne, exprimant eux aussi un tropisme certain pour l’objet conservable, échangeable de la main à la main et, donc, potentiellement vecteur de lien social. Enfin, il ressortait d’un questionnaire envoyé en préparation à ce débat aux responsables de différentes revues (Rue Saint Ambroise, Harfang, Combat face au sida, Les Refusés et Dissonances) les points suivants : - L’apparition du site Internet ne devance jamais – et coïncide rarement – avec le lancement de la formule papier d’une revue. La version online n’intervient généralement qu’au bout de plusieurs mois (plusieurs années dans certains cas) en tant qu’outil complémentaire. En cause, probablement : l’existence déjà longue de ces revues - il en irait sûrement différemment si les mêmes équipes devaient lancer une nouvelle revue aujourd’hui. A noter : hormis celui de Rue Saint Ambroise, le site n’héberge jamais l’intégralité du contenu d’une revue. - Dans une majorité de cas, la gestion du site est vécue comme une contrainte, voire une corvée, de la part des directeurs de publication. La méconnaissance de l’outil informatique, le manque de temps à y consacrer et le coût d’hébergement d’un nom de domaine tendent à limiter les possibilités d’expression sur Internet. Résultat : beaucoup de blogs ou de sites pré-formatés, peu de créations propres et des mises à jour peu fréquentes. En outre, le lectorat même de certaines revues appartient à une génération peu intéressée par la lecture sur écran. - La création d’un site ou d’un blog impacte généralement peu les ventes de la revue papier (sauf dans le cas de Dissonances), mais la présence sur Internet est considérée comme nécessaire aujourd’hui. Elle permet notamment de maintenir un lien entre une revue et ses lecteurs entre deux publications. Dans certains cas, Internet permet de contourner des formes de censure ou d’autocensure (Combat face au sida, par exemple), dans d’autres c’est la revue papier qui permet d’échapper aux restrictions imposées par certains hébergeurs de contenus (Dissonances). |