Orane Chalvet-Parent
Le dimanche 26 avril, après quarante-neuf jours secs comme des coups de trique, une pluie salvatrice dépoussière l’herbe et les arbres. Un rayon de soleil les fait briller. Dès lors, c’est la fiesta dans le jardin. Parmi la multitude d’oiseaux réveillés par la clarté, deux roux flamboyant se volent après, sillonnent entre arbres et arbustes, côte à côte, experts en trajectoire. Et soudain, les voilà qui volent face à face, verticalement. Comme aspirés par une colonne d’air ascendante. Jamais vu ça !
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Le dimanche 26 avril, après quarante-neuf jours secs comme des coups de trique, une pluie salvatrice dépoussière l’herbe et les arbres. Un rayon de soleil les fait briller. Dès lors, c’est la fiesta dans le jardin. Parmi la multitude d’oiseaux réveillés par la clarté, deux roux flamboyant se volent après, sillonnent entre arbres et arbustes, côte à côte, experts en trajectoire. Et soudain, les voilà qui volent face à face, verticalement. Comme aspirés par une colonne d’air ascendante. Jamais vu ça !
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