Là, pas possible, pas d’échappatoire, il allait falloir résister. Résister, tenir, pas se défendre, parce qu’elle n’attendait que ça que je me défende, pour redoubler sa hargne. J’avais pas la force. Pas la force de combattre ; Esther, quand elle pilonne, il n’y a pas de prise, il ne faut pas la regarder, il faut laisser filer, sinon, ça cogne, ça cogne toujours plus fort. Pourtant, c’est dans ces moment-là qu’elle est la plus belle. Je ne peux pas dire pourquoi, et je ne peux pas la regarder, mais pourtant, je sais qu’elle dégage toute sa beauté, là, à ce moment précis où tu sais que la colère, elle ne va plus s’arrêter.
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