Annie Delatte
Mars était passé, avril était venu, charriant de belles journées qui donnaient des envies d’air frais et de nature fleurie. Mounir était content, ça ne lui était pas arrivé souvent, il s’était trouvé ses habitudes. Et puis avril était le mois des vacances, deux semaines sans devoirs. Il peinait avec les cours sur l’ordinateur. Entre la télé du père et les hurlements des jumeaux qui n’arrêtaient jamais de se disputer, il avait du mal à seulement entendre ce que racontaient les profs.
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Mars était passé, avril était venu, charriant de belles journées qui donnaient des envies d’air frais et de nature fleurie. Mounir était content, ça ne lui était pas arrivé souvent, il s’était trouvé ses habitudes. Et puis avril était le mois des vacances, deux semaines sans devoirs. Il peinait avec les cours sur l’ordinateur. Entre la télé du père et les hurlements des jumeaux qui n’arrêtaient jamais de se disputer, il avait du mal à seulement entendre ce que racontaient les profs.
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